Une architecture impériale ?
Marseille porte-t-elle les traces d’une architecture « impériale » ? On peut en tout cas y repérer certains éléments de décor architectural présents dans d’autres villes de l’ex-empire français – toits en tuile, persiennes et vérandas, villas néo-mauresques… Ils témoignent d’influences culturelles réciproques entre métropole et colonies, et des circulations impériales dont Marseille fut un carrefour important.
Auteurs et autrices
-
ATLAN Catherine
Historienne, IMAf -
DUSSERRE Aurélia
Historienne, IREMAM
Bibliographie
(2017). “Provincialiser l’architecture coloniale”, ABE Journal, doi: https://doi.org/10.4000/abe.4094, RIS, BibTeX.
(2005). Architecture coloniale et patrimoine : l’expérience française, INP, Paris, RIS, BibTeX.
(2003, réédité en 2012). La ville coloniale, XVe-XXe siècle, Seuil, Paris, RIS, BibTeX.
(2001). Le patrimoine de Marseille. Une ville et ses monuments, Éditions Jeanne Laffitte, Marseille, RIS, BibTeX.
(1993). Comptoirs et villes coloniales du Sénégal. Saint-Louis, Gorée, Dakar, Karthala, Paris, RIS, BibTeX.
(1989). La terre de Marseille. Tuiles, briques et carreaux, collection « Histoire du commerce et de l'industrie de Marseille XIXe-XXe siècles », Volume 4, Chambre de commerce et d’industrie de Marseille, Marseille, RIS, BibTeX.
Pour citer
(2025). “Une architecture impériale ?”, Mars Imperium (https://marsimperium.org/une-architecture-imperiale?parcours=141), page consultée le 17 février 2025, RIS, BibTeX.